tag:blogger.com,1999:blog-11217779.post6795316838551693200..comments2024-03-23T14:30:20.668+01:00Comments on Adscriptor: Is Internet of Things the Next Big Thing? Probably it is...Jean-Marie Le Rayhttp://www.blogger.com/profile/12753719362290806749noreply@blogger.comBlogger4125tag:blogger.com,1999:blog-11217779.post-17565711818044660482006-12-22T14:26:00.000+01:002006-12-22T14:26:00.000+01:00Hubert,
Je ne fais pas de ma position un absolu :...Hubert,<br /><br />Je ne fais pas de ma position un absolu :-)<br />Je trouve juste qu'entre les formulations actuellement disponibles - informatique "pervasive", ubiquitaire, Internet des objets, Internet des machines ou Internet des choses, c'est cette dernière qui a ma préférence, mais je suis d'accord avec vous, Internet des objets est plus facilement appréhendable par le grand public.<br />Ceci étant, sur le long terme, et lorsque ce phénomène sera répandu et de plus en plus connu, il faudra bien lui trouver une définition plus "large" que l'Internet des objets, qui ne correspondra plus à la réalité.<br />Alors comment l'appeler ? L'Omninternet ? Pourquoi pas !<br />Une réflexion ... sémantique, qui va dans le sens du Web :-)<br />Jean-MarieJean-Marie Le Rayhttps://www.blogger.com/profile/12753719362290806749noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-11217779.post-49910458633118020212006-12-22T12:27:00.000+01:002006-12-22T12:27:00.000+01:00Pour connaître moi-même, plus modestement que vous...Pour connaître moi-même, plus modestement que vous, la double quête de l'auteur et du traducteur (de fait) sur le sens des mots et leur gravité, je m'interroge également...<br /><br />Je suis entièrement d'accord sur le fond Jean-Marie et conscient que cet internet des XXXX concerne tout notre environnement, et pas seulement des objets physiques, mais également des plantes, des animaux, nous-mêmes...<br /><br />Maintenant, je ne suis pas persuadé que le terme "chose" soit suffisamment évocateur, par rapport au terme "objet" pour être explicite par des gens qui ne savent de quoi l'on parle. C'est certainement pour cela que le terme internet des objets a plus d'écho dans le monde francophone que Internet of objects dans le monde anglophone. Je pense que le poids, la gravité comme vous dites, de ces 2 mots n'a pas la même pesanteur dans l'une et l'autre langue. D'où la différence d'appropriation que l'on constate à ce jour. <br /><br />Je sais que je ne vous convaincrais pas, au contraire, la conversation dans les blogs a souvent tendance à radicaliser les positions. Et je comprends tout à fait vos arguments : objet est plus restrictif que chose (quoi qu'encore une fois cela dépend du sens qu'on donne à objet). Mais n'est-il pas tout de même plus compréhensible ? <br /><br />C'est une intuition, pas une réponse.hubert guillaudhttps://www.blogger.com/profile/13204242807587840570noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-11217779.post-9675843132327134582006-12-22T10:37:00.000+01:002006-12-22T10:37:00.000+01:00Bonjour Hubert, et merci pour le commentaire, qui ...Bonjour Hubert, et merci pour le commentaire, qui appelle une réflexion approfondie. Je ne crois d'ailleurs pas qu'un commentaire puisse suffire à traiter l'argument, il y faudrait un billet entier, voire plusieurs...<br />Quelques éléments de réponse, toutefois.<br /><br />La double quête du traducteur et du poète sur le sens des mots et leur gravité (en termes de poids et de gravitation) m'amène à préférer Internet des choses à Internet des objets car, comme annoncé en préambule, [je trouve l'utilisation du terme « objets » trop restrictive dans ce contexte, et par conséquent inadéquate, inexacte même, « choses » ayant une portée plus ample et capable d'inclure - après les ajustements sémantiques nécessaires - non seulement les objets (produits et services), mais aussi les animaux, les plantes et surtout, last but not least, les humains réifiés...]<br /><br />La définition "officielle" d'étiquette radio (Réémetteur permettant d'identifier et de suivre à distance la personne ou l'animal qui le porte, le véhicule ou l'objet sur lequel il est fixé) qui identifie très explicitement les quatre "cibles" potentielles des RFID : PERSONNE, ANIMAL, VÉHICULE, OBJET, me conforte d'ailleurs dans mon idée.<br /><br />Donc pour moi il est clair qu'objet (idem pour l'Internet des machines) est beaucoup trop partiel et largement sous-représentatif des enjeux derrière l'Internet des choses, et les multiples définitions de "chose", surtout philosophiques, me semblent plus proches et plus propres à désigner le phénomène et les enjeux.<br /><br />Enfin quand il s'agit de "pucer" et de "tracer" les humains, les animaux ou les plantes qui vont se retrouver avec un identifiant unique sur Internet, n'est-ce pas là le signe sans équivoque que leur "chosification" a déjà commencé (et que rien ne pourra plus l'arrêter...) ?<br /><br />Jean-MarieJean-Marie Le Rayhttps://www.blogger.com/profile/12753719362290806749noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-11217779.post-5753462665472396812006-12-22T10:21:00.000+01:002006-12-22T10:21:00.000+01:00Très intéressant comme toujours.
Ce n'est pas au ...Très intéressant comme toujours.<br /><br />Ce n'est pas au poète que je me permettrais d'apprendre quoique ce soit, mais j'ai du mal à me faire à l'idée de dire "Internet des choses" (je trouve que cela sonne mal et que ce n'est pas clair), là où l'internet des objets parle de notre environnement immédiat... En fait, tout dépend tout de même de comment <a href="http://www.google.fr/search?hl=fr&q=define%3A+objet&btnG=Recherche+Google&meta=">on définit un objet</a>.hubert guillaudhttps://www.blogger.com/profile/13204242807587840570noreply@blogger.com